Disparition d’oeuvre d’art à Saint-Etienne
- Par sagnardjs
- Le 19/06/2018
Disparition d’oeuvre d’art à Saint-Etienne
Dans le journal Le petit bleu d’Agen sous la plume de Pierre Mathieu, nous apprenons que « plus de quarante ans après sa disparition mystérieuse, le grand taureau sculpté du lycée Etienne-Restat de Sainte-Livrade refait parler de lui. Un ancien élève témoigne de sa destruction, à la masse, en 1973. » En effet, cette pièce monumentale avait été « coulé en pierre reconstituée et ciment, il a été acheté par l'Etat en 1957 par l'entremise du secrétaire d'Etat aux Arts et Lettres Jacques Bordeneuve, élu de Lot-et-Garonne, et placé en dépôt au lycée de Sainte-Livrade-sur-Lot » comme bien d’autres exemples comme avec cette sculpture de Calder qui trône à l’entrée du lycée Beauregard à Montbrison.
L’artiste de 88 ans assure qu’il peut « le refaire, et en marbre cette fois, car il faut rendre à César, c'est-à-dire l'Etat, ce qui est à César ! La disparition des œuvres est une vraie calamité, poursuit-il, j'ai ainsi perdu sept ou huit pièces de bronze ou de marbre dans des lieux publics à Chalon, Château-Thierry, Meymac ou Saint-Etienne. Volées ou détruites, on ne sait pas où elles sont passées».
Pour l’instant, nous n’avons pas encore identifié la pièce disparue dans un établissement stéphanois. A vos recherches...